Jennifer2 a subi un examen spécialisé qui a permis d’expliquer son essoufflement.
Transcription
Je me serrais la poitrine rien que pour me lever du lit et aller aux toilettes, et je ne savais pas ce qui n’allait pas. J’étais juste très essoufflée et ce sont les premiers symptômes que j’ai remarqués. Je ne connaissais pas encore la COVID longue à ce moment-là, je me suis juste dit que c’était vraiment bizarre… Il se trouve que j’ai un médecin de famille qui ne me connaît que depuis trois ans, mais qui me soutient énormément et qui savait que nous avions la COVID. Il nous a suggéré d’acheter un oxymètre, il nous avait beaucoup soutenus tout au long du processus. Mais quand je lui en ai parlé, il m’a déclaré : « Oh, je vais vous faire passer une radiographie pulmonaire ».
Je l’ai fait et il m’a annoncé qu’il n’y avait pas grand-chose à voir sur une radiographie. Il m’a dit : « J’aimerais vraiment faire une IRM » ou je ne sais pas si c’est une IRM ou une tomodensitométrie, peu importe, mais il a ajouté : « Ça prend tellement de temps ». Mais je vis au Québec où nous avons la possibilité d’opter pour le privé, alors j’ai dit : « Je vais la payer », ce qui a permis de la subir immédiatement. C’est donc au début du mois de janvier qu’il m’a appelé pour m’annoncer : « Nous voyons des opacités en verre brisé (un trouble indiquant une série de problèmes) dans vos poumons » et il m’a dit que cela pouvait expliquer tous les symptômes.
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